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*~ At. Theatre du LFAY!!! ~* vous invite dans le monde des rêves.

Photo de attheatrehanoi

attheatrehanoi

Description :

Option 2009. Première séance vendredi 5 septembre , salle 214 nous étions 28!
I had a dream...
Et si la vie était un songe...
De quoi les rêves sont-ils l'annonce? De quelle étoffe sont-ils faits?
Qui sont ceux qui hantent notre sommeil et qui se réveillent au plateau? Des fantômes, des masques, des êtres venus d'ailleurs ou de l'au-delà, des projections de nous-mêmes...
Nous entrons dans le tunnel!
Il y a des trésors dans la mine à mettre au jour au Soleil du théâtre...

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Hommage à Pina Bausch par le metteur en scène Georges Lavaudant

Georges Lavaudant, metteur en scène et directeur du Théâtre de l'Odéon de 1996 à 2007
"Elle a fait naître un théâtre un peu hybride, physique et engagé"
LE MONDE | 01.07.09 | 15h19 • Mis à jour le 01.07.09 | 15h51


irecteur du Théâtre de l'Odéon de 1996 à 2007, le metteur en scène Georges Lavaudant (62 ans) apporte son témoignage.

Comment avez-vous découvert Pina Bausch ?

La première fois que j'ai vu un de ses spectacles, c'était Kontakthof, à Avignon, en 1981, au Théâtre municipal. J'y suis allé sans savoir à quoi m'attendre ; je connaissais très peu de chose de la danse contemporaine. Ce jour-là, il m'est arrivé ce qui vous arrive une ou deux fois, pas plus, dans votre vie. Les vingt premières minutes, j'étais presque épouvanté, parce que je voyais sur scène tout ce que j'avais toujours rêvé de faire. J'étais en larmes et, en même temps, je me sentais très heureux : quand vous travaillez sur un territoire de l'imaginaire et que quelqu'un arrive à le représenter avant vous, vous n'êtes pas frustré, mais heureux. Ce spectacle, c'était comme recevoir une lettre d'amour.


Qu'est-ce qui vous touchait à ce point ?

L'absolue liberté de Pina Bausch, sa façon d'aller à l'écume de la vie, son art fait de bricolage - des petites phrases, des musiques populaires, des rengaines, donc quelque chose d'amusant. Et, tout de suite derrière, le sentiment d'une guerre, guerre entre les hommes et les femmes, et la tristesse de penser que la vie est trop courte. Pina Bausch vous donnait envie de vivre. A voir ses spectacles, on se disait : "Mince, qu'est-ce qu'on est en train de faire ? On ne dit pas ce qu'il faudrait aux gens qu'on aime, on ne regarde pas la simplicité des objets."

Pina Bausch nous faisait voir un quotidien qu'on ne voyait plus. Pour moi, elle a été dans les années 1980, avec Heiner Müller et Robert Wilson, un grand artiste, au sens poétique - cela, on le sait -, mais aussi politique - au sens où elle nous obligeait à changer notre regard.

Avez-vous cherché à rencontrer Pina Bausch ?


Oui, bien sûr. Très vite, je me suis lié avec certains de ses danseurs comme Jean-François Duroure et Francis Viette, qui ont ensuite travaillé avec moi, pour Lumière, Fanfare et Terra Incognita - des spectacles qui n'auraient jamais vu le jour sans Pina Bausch.

Quelle influence la chorégraphe a-t-elle eu sur le théâtre français ?


Elle a fait naître une forme de théâtre un peu hybride, très physique et très engagé. Des compagnies comme celle d'Eric Lacascade à ses débuts lui doivent beaucoup. Le nouveau cirque aussi. On a aussi vu de nombreux clonages de spectacles de Pina Bausch. Il y a donc eu le meilleur et le pire.

Quelles images la danse de Pina Bausch vous laisse-t-elle ?


The Man I Love dans la langue des sourds-muets. Des gens qui serpentent, à la queue leu leu, avec leurs mains qui volent, comme des oiseaux. La danseuse française, presque nue, avec son accordéon sur le ventre, au milieu d'un champ d'oeillets. Des filles épinglées contre les murs... C'est sans fin.

Je sens aussi les odeurs : celle du gazon dans Kontakthof ; la fraîcheur de l'eau de la fontaine de Roma ; les bougies sur les bras des garçons de Palermo ; la pierre qu'on jette en l'air et qui vous retombe sur la tête, je ne sais plus où ; Jan, le Tchèque qui ne dansait plus, et faisait des interventions dans les spectacles.

Et puis, il y a Pina dans Café Müller, avec ses cheveux qui tombent, son abandon. On dirait une sainte laïque, et on revoit en elle la petite fille qu'elle était, jouant sous les tables du café de ses parents.

Et la femme Pina ?


Je ne peux la voir que physiquement, parce que j'ai peu conversé avec elle. Je l'ai vu rire aux éclats, parfois. Mais elle avait toujours une sorte de sourire absent. Elle était très présente, et en même temps on pouvait la sentir partie très loin... Je ne réalise même pas l'émotion que me fait l'annonce de sa mort. C'est une immense personne humaine qui vient de disparaître : quelqu'un qui nous a enrichis, et nous a apporté de la beauté.





Propos recueillis par Brigitte Salino
Article paru dans l'édition du 02.07.09




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#Posté le jeudi 02 juillet 2009 02:27

Au revoir Pina Bausch, qui a inventé la danse théâtre.

Pina Bausch, chorégraphe et danseuse allemande
LE MONDE | 01.07.09 | 15h18 • Mis à jour le 01.07.09 | 19h14


lle avait un visage de Pieta transparent, un regard bleu perçant, et elle était la chorégraphe qui a sans doute le plus marqué la seconde moitié du XXe siècle. Son influence et son aura ont même débordé le domaine de la danse. Dans le théâtre surtout, mais aussi les arts plastiques, et le cinéma où Fellini et Almodovar lui ont directement rendu hommage dans des films. Pina Bausch est morte, mardi 30 juillet, d'un cancer fulgurant à Wuppertal, en Allemagne, pays où elle avait créé sa compagnie, le Tanztheater, en 1973. Elle était âgée de 68 ans. Il y a quinze jours à peine, elle travaillait sur sa nouvelle pièce après une résidence de création au Chili. Entrée à l'hôpital pour une bronchite et une extrême fatigue, on lui découvre un cancer généralisé dont elle meurt après cinq jours.


Admirée dans le monde entier, cette immense artiste, épaulée par sa troupe d'une vingtaine de danseurs, dont certains l'accompagnaient depuis ses débuts, a chorégraphié plus d'une quarantaine de pièces - autant de succès. Les salles étaient toujours pleines pour Pina Bausch, qui était aussi parfois sur scène, parce que chaque fois, on se demandait ce qu'elle allait sortir de nouveau.

Pina Bausch a révolutionné la danse en inventant une "danse-théâtre". Des décors féeriques ou avec des objets du quotidien, des sketches, des adresses au public qui évoquaient le théâtre, et puis des séquences de danse virtuoses, au bord du vertige. Tout cela mis ensemble avec une fougue féroce, le talent de l'alchimie, dans le but de raconter la vie en la faisant passer pour une oeuvre d'art.

C'est bien en faisant de la transition un art majeur qu'elle a révolutionné les canons du spectacle : elle jette sur le plateau des corps virtuoses qui font leur numéro de danse, y ajoute des saynètes théâtrales et raconte des histoires fortes, personnelles ou qui ont marqué le temps. C'est du cabaret contemporain ou une revue chorégraphique d'un nouveau genre. Ses interprètes - hommes en costume et femmes en robe du soir (garde-robe de Marion Cito) - coursent la vie et ses émotions sur une bande-son de chants et de musiques du monde.

Une image surgit. En novembre 2008, lors du festival qu'elle avait créé dix ans plus tôt à Wuppertal : après la représentation de sa virulente adaptation des Sept Pêchés capitaux (1976) sur la musique de Kurt Weill, Pina Bausch se régale d'une soupe. Régime frugal pour une femme toujours d'attaque. Elle fume une cigarette - elle avait eu la permission de fumer dans les studios de l'Opéra Garnier lors des répétitions en 2005 d'Orphée et Eurydice. Elle observe la jeune chanteuse rock Petra Magoni. Elle semble comme détachée du monde et très attentive.

Pina Bausch, de son vrai prénom Philippine, est né le 27 juillet 1940 à Solingen (Allemagne), tout près de Wuppertal. Ses parents tiennent un café-restaurant. La chorégraphe raconte comment, enfant, elle passait son temps sous les tables du bistro à écouter les clients et les histoires cruelles des grandes personnes. "Il y avait tant de gens et il se passait tant de choses étranges." Ces souvenirs ont servi de matière première à l'une de ses pièces majeures, Café Müller (1978), qu'elle interprétait encore récemment.

En 1955, à l'âge de 15 ans, elle intègre l'école de danse Folkwang, à Essen, dirigée par le chorégraphe Kurt Jooss. Elle en sort trois ans plus tard et part en 1959 étudier "toute seule, en bateau, sans connaître le moindre mot d'anglais" à New York. Interprète dans différentes compagnies (Paul Sanasardo, Paul Taylor, Antony Tudor), elle revient en Allemagne pour danser au Folkwang Ballet, dont elle deviendra directrice de 1969 à 1973. Elle y crée ses premières pièces comme Fragment, sur une musique de Bartok.

Son installation en 1974 à l'Opéra de Wuppertal provoque scandale sur scandale. Habitué au ballet traditionnel, le public n'accepte pas cette nouvelle danse, proche du théâtre et de la vie. Il l'insulte, jette des tomates sur les danseurs. Pina Bausch reçoit des menaces au téléphone. Ses premières pièces s'attaquent à de grandes partitions musicales pour en extraire une vision souvent âpre. Iphigénie en Tauride sur la musique de Gluck (1974), puis Orphée et Eurydice (1975), toujours à partir de Gluck, ou encore Barbe-Bleue sur la partition de Béla Bartok.

En 1975, elle met en scène Le Sacre du printemps sur la musique de Stravinsky. Cette pièce féroce jette le clan des hommes contre celui des femmes. Ce thème passé au crible de générations de danseurs reste le motif principal de toute l'oeuvre de Pina Bausch.

Le début des années 1990 marque un tournant. Pina Bausch délaisse sa veine sombre, cruelle, pour explorer une certaine légèreté. Elle profite de ses tournées internationales pour s'installer en résidence dans les grandes capitales et mettre en scène ces villes fantasmées. Palerme est au coeur de Palermo, Palermo (1989), Istanbul donne vie à Nefes (2003), Séoul sert de cadre à Rough Cut (2005). S'imprégnant de la vie quotidienne, de ses rencontres, Pina Bausch retranscrit ces rapports de proximité tissés à même la fibre populaire et intellectuelle de chaque endroit.

Les solos de danseurs au coeur des spectacles deviennent sa marque chorégraphique. Inventifs en diable, ciselés, leur furieuse beauté exalte le tempérament des danseurs au point qu'on les croirait en train de jouer leur peau chaque soir. On se souvient de Dominique Mercy, interprète et pilier de la compagnie depuis le début des années 1970, se propulsant pied au plancher dans l'espace à grands moulinets de bras dans Pour les enfants d'hier, d'aujourd'hui et de demain (2002). On se souvient encore d'Helena Pikon dans Vollmond (2006), le corps renversé, faisant juter du citron sur ses bras en déclarant "qu'elle est un peu amère".

La méthode de travail Pina, fondée sur l'improvisation des danseurs, leur vécu, a fait le tour de la planète. Elle délivre des consignes ou des thèmes aux interprètes, qui lui présentent ensuite le résultat, théâtral ou chorégraphique, de leur recherche. Exemples de consignes : "Tendre un piège à quelqu'un", "Pourquoi se donne-t-on tant de mal ?", "Imaginer des jeux pour chasser la peur"...

Quant à ses scénographies et décors, ils restent inégalés. D'abord imaginés avec Rolf Borzik, son compagnon décédé en 1980, puis avec Peter Pabst, ils subliment des éléments naturels : montagne de fleurs rouges pour Le Laveur de vitres (1997) ; falaise de mousse dégoulinant d'eau pour évoquer Budapest dans Wiesenland (2000)... Pina Bausch inscrit au creux de ces paysages factices un rêve de vie.

A Paris, le Théâtre de la Ville était depuis 1979 la maison de Pina Bausch - elle y a présenté plus de trente spectacles. Au milieu des spectateurs, elle ne ratait aucune représentation. "C'est la fin d'un monde, confie Gérard Violette, ancien directeur de ce théâtre. Lorsqu'elle venait saluer, elle connaissait une minute de bonheur. Sinon, c'était une femme douloureuse. Elle a influencé tout le monde mais ne laisse aucun héritier." "C'était non seulement une grande chorégraphe mais aussi une très belle personne", confie son ami Bartabas, qui a beaucoup travaillé avec elle.

Elle qui réalisa un film, La Plainte de l'impératrice (1989), tourna aussi avec Federico Fellini dans E la nave va (1982). Il la décrivait ainsi : "Avec son air aristocratique, tendre et cruel à la fois, mystérieux et familier, Pina Bausch me souriait pour se faire connaître. Une religieuse qui mange une glace, une sainte en patins à roulettes, une allure de reine en exil, de fondatrice d'un ordre religieux, de juge d'un tribunal métaphysique, qui soudainement te fait un clin d'oeil." Sa dernière pièce, au Théâtre de la Ville en janvier, Sweet Mambo, possédait le goût des adieux. Les danseurs disaient leur nom en répétant "N'oubliez pas, n'oubliez pas".



Rosita Boisseau

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Dates clés

27 juillet 1940
Naissance à Solingen, en Rhénanie du Nord-Westphalie (Allemagne).

1955
Intègre l'école de danse Folkwang, à Essen.

1961
Engagée par le Metropolitan Opera de New York.

1974
Installation à l'Opéra de Wuppertal.

30 juillet 2009
Mort à Wuppertal.






Article paru dans l'édition du 02.07.09
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#Posté le jeudi 02 juillet 2009 02:23

Robert Lepage, metteur en scène inspirateur de W; Mouawad

"Jouer
Je suis un joueur, j'adore me trouver face à des problèmes, des casse-tête. Le théâtre est aussi un sport : les spectateurs n'ont-ils pas une peur quasi physique que l'acteur ait un trou de mémoire ? En anglais, comédien se dit player, soit joueur, et moi j'ai justement horreur des acteurs qui « actent » trop, reproduisent des codes – cinéma, télé – et ne jouent pas assez. Mon théâtre n'est que jeu. On y joue à jouer, de toute éternité. Comme quand les premiers hommes, assis autour d'un feu, se levaient puis s'amusaient avec leurs ombres pour figurer des sur­hommes ou des dieux, magnifiaient l'humain, le confrontaient à des problèmes plus grands que nature. Toujours plus grands que nature. Maintenant que le théâtre a été délivré du réalisme par le cinéma et la télévision, indépassables dans la chronique du quotidien, il peut enfin exprimer avec une liberté totale ce qui n'a jamais été exprimé. Inenvisageable ailleurs. Quand je commence un spectacle, je suis par exemple persuadé qu'il est déjà là... mais enterré.Reste à reconstituer patiemment le squelette. Sans relier les os trop tôt. Sans trouver de logique trop tôt. Réveiller les ombres. J'aime le chaos, partir comme un capitaine aveugle, ne pas savoir où je vais mais y aller. Ce n'est que du désordre que peut naître l'ordre."

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#Posté le mardi 30 juin 2009 00:00

Video : la vision du theatre de Wajdi Mouawad

http://www.info07.com/article-333449-La-vision-du-theatre-de-Wajdi-Mouawad.html
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#Posté le lundi 29 juin 2009 23:11

Article et video sur le dernier opus de Wim Vandekeybus

Sur le site du Tadorne qui couvre tous les festivals de theatre et de danse et que je vous recommande chaudement:

http://www.festivalier.net/article-32914306.html
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#Posté le lundi 29 juin 2009 23:06

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